Je tenais Ă faire part du management toxique que j'ai subi lors de mon job Ă©tudiant l'Ă©tĂ© dernier chez boulangerie Ange. Je n'ai pas l'habitude de publier mais c'est bien en ayant pu avoir depuis cet Ă©pisode d'autres expĂ©riences professionnelles qui se sont trĂšs bien passĂ©es que je me rends compte que ce qui s'est passĂ© n'est pas normal et que je me dois de l'Ă©voquer. J'y suis restĂ©e 2 semaines fin juin. Le comportement des vendeuses envers les nouvelles Ă©tait exĂ©crable. Rabaissements parfois en public, comportement collĂ©gien en faisant des messes basses et critiques derriĂšre ton dos. Les vendeuses qui t'ordonnent de servir les clients quand elles viennent juste de t'assigner Ă une tĂąche mĂ©nagĂšre, et qui te rabaissent car cette derriĂšre n'a consĂ©quemment pas encore Ă©tĂ© faite. J'ai parfois eu des remarques trĂšs limites de certaines sur mes cheveux frisĂ©s Ă©tant mĂ©tisse. Ces derniers rendant parfois difficile le port d'une casquette, j'ai eu le droit Ă " je n'aimerais pas avoir tes cheveux", se permettant de la remettre maladroitement sans me le demander. Au lieu de te permettre d'apprendre et d'Ă©voluer, les vendeuses dans un sentiment de supĂ©rioritĂ© et dans une volontĂ© de prouver quelque chose te rabaissent et te critiquent Ă la moindre erreur. Je mentionnerai le comportement choquant de la manageuse Malaury : J'Ă©tais un jour arrivĂ©e Ă 11H02 au lieu de 11H du fait que j'Ă©tais au tĂ©lĂ©phone avec ma mĂšre qui m'annonçait la grave chute de mon grand pĂšre et son hospitalisation. Son Ă©tat de santĂ© Ă©tant Ă risque, elle me proposait de me rĂ©cupĂ©rer Ă 14 H pour aller le voir Ă l'hĂŽpital. Quand j'en ai alors parlĂ© Ă ma manageuse demandant si je pouvais exceptionnellement sortir plus tĂŽt, celle-ci m'a rĂ©pondu " la seule excuse valable serait qu'il soit dĂ©cĂ©dĂ©", et haussait les sourcils quand elle m'a vu en larmes, disant que c'Ă©tait ça le monde du travail. Je l'entendais ensuite parler de moi Ă ses collĂšgues en colĂšre notamment un " elle ne va pas me saouler". Le soir mĂȘme je faisais part de ma dĂ©mission. Quand je suis revenue le lendemain pour ma derniĂšre journĂ©e convenue la veille, Ă aucun moment on a pris des nouvelles de mon grand-pĂšre. Et ne voilĂ que quelques exemples des nombreux Ă©vĂšnements qui se sont passĂ©s. La nouvelle qui Ă©tait avec moi est parti pour les mĂȘmes raisons. Pour une boulangerie qui prĂŽne fiĂšrement et faussement les valeurs de respect, de plaisir, et de qualitĂ©, il faudrait dĂ©jĂ que cela s'applique aux salariĂ©s. Car l'humain y manque beaucoup. Fuyez cette boulangerie.